Quelle joie, quelle plaisir pour tout être un tant soit peu empathique que de découvrir le plaisir magnifique du journaliste Jean-Yves Gabbud.

Les enseignants n'auront pas leur augmentation (sauf le susucre pour les enseignants primaires).
C'est la démocratie, la majorité décide.

Dans son commentaire, le journaliste Jean-Yves Gabbud, en pleine jubilation extrême, qui confine pratiquement à un ... pardon. Le journaliste donc reprend la constatation du Nicolas Voide député pdc, chef de groupe : dans la commission de l'éducation qui a dit oui à la hausse, il y a sept enseignants sur douze membres.

Et bien malgré cette invasion, cette prise d'assaut, cette infiltration de la 2ème colonne enseignante, il n'y aura pas d'augmentation (sauf...)

Juste rappeler à ces joyeux messieurs que ces fameux enseignants infiltrés sont des élus du peuple. C'est dingue. Les gens les ont choisi, mais ils devraient se taire...

Ensuite, n'est-ce pas les groupes politiques qui nomment et placent leurs membres dans les commissions ? Notamment leurs chefs de groupe qui négocient avec talent la représentation de leur parti dans les commissions ? " Alors hop machin-là l'enseignant, tu connais un peu le sujet, non ? alors hop, je te nomme dans la commission éducation." C'est double dingue ! Infiltrer soi-même, avec talent, le ver dans la pomme. Quand j'écris ver, je pense ver, pas vert. L'un des deux est vachement plus manipulateur que l'autre.

Moi qui pensais que l'on choisissait consciencieusement les membres des commissions les plus capables (capables de quoi ? autorisés à quoi ?)
et après, consciencieusement, le groupe qui les a placés ne suit pas leur avis... à ces salauds d'infiltrés...

Joli paradoxe, non ?